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Enchantée ! 

Je sus ravie de faire te connaissanoe !

Je te souhartes une bonne verte dans l'atelier des héros :)

monde d'oji figurines à propos
monde d'oji figurines à propos
Je suis ravie de faire ta connaissance

Tu l'auras deviné, d'est moi qui suis derrière chacune des figurines. Je m'appelle Oriane, et je suis ravie de faire ta connaissance.

Je suis tombée dans la fontaine des jeux vidéos, de l'univers fantatsy et des manges très tôt grâce à mon papa.

Un début catastrophique

Rien mais alors rien ne me pré-destinait à créer des figurines. C'est même tout le contraire. Les rares cours de poterie que j'ai pu avoir étant plus jeune, ont été un véritable désastre. Pas une de mes créations ne restaient en un seul morceau en sortant des fours.

Mon monde

Très tôt, je suis tombée dans le monde des jeux vidéo et de l'univers héroïque fantaisie grâce à mon papa et dans le monde des mangas et des animes grâce à une copine d'école primaire.

Mon père me permettait, petite, de rester à côté de lui certains soirs, quand il jouait à Slave 0 (pour ceux qui s'en rappelle) ou encore Rayman 2.  C'est lui aussi qui m'as offert ma première Gameboy Color (elle étai jaune) et ma Gamecube ainsi que Mario Kart, Zelda "The Wind Wacker", et d'autres encore.

monde d'oji figurines

C'est lui aussi qui m'a fait découvrir Le Seigneur des Anneaux.

Ma mère quant à elle, m'a fait découvrir Harry Potter et toute le magie qui va avec (et je peux vous dire que le Seigneur des Anneaux et Harry Potter je suis allée les voir pleins de fois au cinéma - et même encore maintenant je me repasse les films et j'écoute les livres audio).

Donc, j'ai envie de dire merci à eux.

En CM1, c'est une copine de cesse qui m'as fait découvrir le chef d'oeuvre d'Hayao Miyazaki : "Princesse Mononoké". C'est là que j'ai su ce que je voulais faire plus tard : Faire des films d'animation ou travailler dans les jeux vidéos.

Puis au collège, une amie m'as laissée jouer à World of Warcraft. Mais ce n'est que des années plus tard, au lycée que j'ai pu véritablement commencer à y jouer et depuis l'histoire ne s'est jamais arrêtée. D'autres jeux comme Dofus ou Final Fantasy sont rentrés dans la danse, mes l'alchimie ne s'est jamais vraiment produite.

Entre temps, j'ai découvert Naruto et j'ai continué à jouer aux jeux vidéo comme Zelda "Twilight Princess" (Zelda d'est vraiment un univers que j'adore). J'ai aussi découvert à la même période le monde de l'horreur et du glauque. Résident Evil 4 reste gravé dons me mémoire et Bloodborne est incroyable.

Depuis, mon coeur chavire entre l'horreur et la magie.

Pour réussir, il faut oser

Pus à la fin du collège, quand j'ai du faire mes choix, on m'as clairement dit que les jeux vidéo, c'était bien mais ce n'était pas un métier. Donc j'ai dû faire autre chose, mais j'ai toujours eu un objectif : avoir mon BAC pour entrer en Art. J'ai réussi.

Quand je suis entrée en art appliqués. j'ai été aspirée par le tourbillon de mes études. Les années ce sont enchaînées (en design - rien à voir avec les jeux vidéos - mois c'était "plus acceptable") et après 13 ans d'études interminables, la fin est arrivée et il e bien fallu trouver quelque chose.

Seulement, il y avait deux problèmes : Nous étions en plein COVID et à force de vouloir plaire à tout le monde et cocher des cases, je ne savais plus de que je voulais. Alors je me suis lancée dans l'illustration, à mon compte pour faire quelque chose.

Pour continuer d'avancer. J'ai tenue à peu près trois ans comme ça. Et j'ai fini par me lasser. J'ai réalisé que, depuis trop longtemps, je me mettais des barrières. J'ai repris un abonnement WoW, j'ai recommencé à regarder des animes, lire des mangas et rejouer aux jeux vidéo. J'ai fais le plein d'idées et d'inspiration et j'ai abandonné l'illustration. Je n'était de toute façon pas en phase et je n'arrivais pas à trouver mon style. Je me suis donc mis à sculpter et là c'était parti. 

Depuis je n'ai plus arrêter.

Je travail, je m'entraine, je m'améliore, je rate, je recommence, je réussi et je m'inspire des gens qui ont un bien meilleur niveau que moi. 

Ce n'est pas un métier, c'est de l'émerveillement et de l'apprentissage au quotidien

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